Top 19 lieu de tournage et pour quelques dollars de plus

Cette critique contient des spoilers

Que dire de plus sur ce film ? Car oui, tout a plus ou moins était dit sur Et pour quelques dollars de plus, comme pour le reste de la trilogie du dollar d’ailleurs. Alors que faire ? Vais-je me lancer dans un énième éloge de cet excellent film ? un éloge qui n’aurait pas grand intérêt si ce n’est de célébrer – une fois de plus – le génie de Sergio Leone ou encore de m’extasier devant le talent et le charisme de Clint Eastwood, Lee Van Cleef ou Gian Maria Volontè. C’est pourquoi je préfère vous parler de style. De la manière dont s’est construit ce que l’on appelle aujourd’hui le style Sergio Leone.

En 1964, le premier western d’un obscur réalisateur répondant au nom de Bob Robertson sort dans les salles européennes. Pour une poignée de dollars est un triomphe. Le grand public ne tarde pas à découvrir que derrière ce pseudonyme anglophone se cache un jeune réalisateur romain: Sergio Leone. Le film est torpillé aux Etats-Unis, trop de violence, trop de fioritures baroques, tempi, l’Europe, elle, est conquise. Fort du succès de Pour une poignée de dollars, Leone remet le couvert et réalise en 1965 Et pour quelques dollars de plus. Ce second western est un nouveau triomphe sur le vieux continent et permet à son réalisateur d’acquérir une certaine notoriété. Notoriété qui se verra accentuée par l’immense succès du dernier volet de sa trilogie du dollar: Le Bon, la Brute et le Truand. Pour autant, entre Pour une poignée de dollars et Et pour quelques dollars de plus, le style Leone a évolué, et il suffit de s’y pencher quelques instants pour s’en rendre compte.

Au début des années 1960, Sergio Leone visionne un film du grand maître japonais Akira Kurosawa: Yojimbo. La trame, vous la connaissez tous: Un homme arrive dans un village partagé entre deux clans rivaux. L’homme veut pousser les deux clans à s’entretuer afin de ramener la paix dans le village. Ce scénario, vous l’aurez compris, c’est celui de Yojimbo. Leone se met néanmoins en tête de l’adapter en western, sans le moindre droit sur l’œuvre originale, ce qui lui sera préjudiciable par la suite. Mais la question n’est pas là. En 1964 Sergio Leone est un tout jeune réalisateur qui ne possède qu’un seul film à son actif: Le Colosse de Rhodes (1961), un péplum ayant connu un certain succès à sa sortie. Ainsi, Leone ignore complètement comment réaliser un western et tout naturellement, se repose sur la mise en scène et les idées de Kurosawa pour réaliser son film. Ce que je veux dire en somme c’est que l’on ne peut pas réellement parlé du style Sergio Leone lorsque l’on évoque Pour une poignée de dollars. alors bien sûr certains éléments sont déjà présents, comme les jeux de regards et la distorsion du temps, mais encore une fois, ces éléments sont en grande partie empruntés à Yojimbo. Si l’on voulait créer la polémique, l’on pourrait déclarer que Leone a, sans vergogne, plagié Kurosawa, mais là encore, c’est plus compliqué que ça. Je suis le premier à remarquer les nombreuses, très nombreuses similitudes scénaristiques ou de réalisation, cependant le peintre n’apprend-il pas la peinture en copiant les autres peintres ? Et bien c’est exactement la même chose ici, Leone apprend de Kurosawa avant de s’en émanciper et de créer son propre style. Enfin, on ne peut enlever à Leone qu’il a su insuffler à son œuvre une atmosphère et une identité propre qui servira de modèles aux westerns spaghetti futurs, En somme, si Leone n’impose pas réellement son style dans Pour une poignée de dollars, il pose néanmoins les bases du western spaghetti (gros plans, musique morriconienne, dilatation du temps…). Suite à ce succès, Leone prend confiance, confiance en sa réalisation, confiance en sa capacité de créer des univers. Cette prise de conscience se manifeste clairement dès le premier plan de son second western: Et pour quelques dollars de plus. Avec Pour une poignée de dollars, la caméra restait globalement confinée dans le village, ne cherchant pas à capter les grands espaces. Dans Et pour quelques dollars de plus il prend son pied à filmer les extérieurs, le désert, les personnages profitent également d’un terrain de jeu plus étendu avec plusieurs lieux et villages différents. Le traitement de ses personnages a également changé. Quand dans Pour une poignée de dollars, le personnage de Clint Eastwood était brièvement introduit et présenté en observateur, dans le second film, il est iconisé, arrivant à White Rocks sous la pluie, allumant son cigare le visage masqué par son chapeau. S’ensuit une partie de poker avec un bandit dans un saloon qui débouche sur un affrontement au pistolet qui montre de quel bois est fait le personnage. Il fait de même pour le personnage du colonel Douglas Mortimer incarné par Lee Van Cleef qu’il présente dans une séquence de 10 minutes environ comme un tireur intelligent, charismatique, rusé, courtois, calme et sûr de lui. Pour la première fois dans un western, Leone prend le temps de présenter les trois principaux personnages de son film en établissant leur profil.

Dans ce film, le réalisateur multiplie les confrontations (de pistolets ou de regards) entre les différents personnages en dilatant pour la première fois vraiment, le temps. La dernière confrontation est aussi le véritable duel du film. Il met en scène l’Indien et le colonel Mortimer. Là encore, le style de réalisation de Leone évolue: dans Pour une poignée de dollars, le seul duel de ce genre se déroulait au début du film (affrontement entre Clint Eastwood et des hommes des Baxter). Ce duel là durait 14 secondes. Avec le duel final de son second film, Leone a pris confiance et se permet de dilater encore un peu plus le temps et la tension. Ce duel ne dure plus 14 secondes mais plus de 2 minutes. Leone captive le spectateur en créant de la tension, tension rendue possible grâce à une alchimie parfaite entre musique, montage et mise en scène. Ce genre de duel se retrouvera dans ces westerns futurs (Le Bon, la Brute et le Truand et Il était une fois dans l’Ouest) mais apparaît vraiment avec Et pour quelques dollars de plus.

Avec ce film, Leone innove encore une fois en développant une intrigue que l’on pourrait qualifiée de souterraine, je m’explique. L’on comprend au fur et à mesure du film que le personnage de Mortimer en veut personnellement à l’Indien (Ex: Ils possèdent tous deux la même montre à gousset). Parallèlement, Leone nous montre sous forme de flash-back les pensée de l’Indien qui se remémore un viole et le suicide d’une jeune fille. Le duel final confirme le lien qu’entretiennent les deux hommes, et ce n’est qu’à l’issue de ce duel que l’on comprend que la jeune fille violée par l’Indien n’était autre que la sœur de Mortimer. Ce type de narration sera reprit – de manière plus abouti et puissante – dans Il était une fois dans l’Ouest. A partir de ce film, Leone associe également un leitmotiv propre à chacun des personnages principaux de son récit. Il en sera de même pour son film suivant: Le Bon, la Brute et le Truand (où chacun de ces trois personnages se verra associé à un gimmick sonore précis) ou encore dans Il était une fois dans l’Ouest (Ex: l’harmonica est associé au personnage de Charles Bronson. Un thème particulier se répète également lorsqu’apparaît Le Cheyenne).

Vous l’aurez compris, ce film est intéressant par bien des aspects. Mais si Et pour quelques dollars de plus marque la naissance du style Sergio Leone en ce qui concerne la mise en scène, il marque également le point de départ d’une véritable alchimie entre réalisation et musique. Si je vous dis western spaghetti, Sergio Leone, il y a de fortes chances que vous pensiez Ennio Morricone. La première collaboration Leone/Morricone remonte à l’année précédente sur le tournage de Pour une poignée de dollars. Avec ce film, Morricone jetait déjà les bases de ce qui allait devenir l’archétype d’une BO de western spaghetti. Mais si l’orchestration en elle-même se trouve être révolutionnaire, son utilisation, elle, ne l’est absolument pas. En effet, avec Pour une poignée de dollars, la musique se contente d’accompagner les scènes, donnant de l’intensité à certaines ou de l’intimité à d’autres, bref, rien de bien original. En 1965, tout cela change. En effet, dans Et pour quelques dollars de plus, et ce pour la première fois dans la filmographie de Leone, la musique devient un personnage à part entière du film principalement grâce à la présence des deux montres carillons détenues par Mortimer et l’Indien. Ces deux objets appartenaient à l’origine à la sœur du colonel Mortimer, qui succombe au suicide après avoir été violée par l’Indien. Cette incursion de l’orchestration de Morricone dans le film est parfaitement illustrée dans la scène finale, à savoir celle du duel opposant le colonel Mortimer à l’Indien. Dans cette scène, et comme à son habitude, l’Indien s’adresse à son adversaire en ces termes: « Quand la musique s’arrêtera, ramasse ton pistolet, et essaie de me tuer… » Par cette phrase, l’Indien nous donne une idée du rapport de force entre lui et le colonel. Posant ses conditions, décidant du début et de la fin du duel, il se pose comme le maître du jeu, et ce grâce à la musique. En effet, dans ce film, les notions de « temps » et de « musique » se trouvent étroitement liées (Ex: Un duel dure le temps d’une mélodie), celui qui contrôle la musique devient le maître. Dans ce duel, comme dans la grande majorité du film, c’est l’Indien qui mène la danse, imposant via cette mélodie la durée de l’affrontement, une mélodie qu’il connaît par cœur, lui assurant ainsi la victoire sur son adversaire qui ignore tout de cette entêtante marche funèbre (C’est également la raison pour laquelle l’Indien prend soin de désarmer Mortimer avant le commencement du duel final, en effet, ce dernier connaissant aussi bien que lui ma mélodie, l’Indien se voit contraint de le déposséder de son arme afin de conserver un avantage sur son adversaire). Lorsque la mélodie semble arriver à son terme, que l’Indien se prépare à dégainer, surprise ! Elle repart de plus belle, au grand étonnement des deux protagonistes. La mélodie est relancée par Le Manchot ayant dérobé la montre du colonel. Via ce geste, Le Manchot qui jusque là n’avait pu se résigner qu’à subir les actes de l’Indien (Ex: il subit le braquage de la banque d’El Paso puis se fait capturer et passer à tabac par l’Indien et ses hommes), réaffirme sa place dans le film en imposant sa loi. Il prend via la musique le contrôle du temps, décidant ainsi de la durée du duel. Mais Le Manchot ne se contente pas de prendre les rênes du duel, il rétablit également l’égalité entre les deux protagonistes en offrant son pistolet au colonel Mortimer, jusque-là désarmé. Dès cet instant, l’Indien est dépossédé de son contrôle sur le film, lui qui jusque-là décidait de la durée de ses duels, qui avait établi les rapports de force au début de ce dernier affrontement, se retrouve pour la première fois passif, spectateur des évènements. Cette évolution dans les rapports de force est d’ailleurs très justement retranscrite par une BO gagnant en flamboyance. Pour les trois protagonistes comme pour le spectateur, le message est clair, l’Indien n’en réchappera pas. Au terme de la mélodie, Mortimer dégaine et tue l’Indien. Ce geste marque la victoire de Mortimer ainsi que du Manchot. En effet, si la main appuyant sur la détente est bien celle de Mortimer, le pistolet, lui, appartient au Manchot.

Ainsi, si Pour une poignée de dollars pose les bases du western spaghetti tel qu’on le connaît, en se calquant sur la mise en scène du Yojimbo de Akira Kurosawa, ce n’est qu’à partir de Et pour quelques dollars de plus que naît véritablement le style Sergio Leone. Le film devient le réceptacle de l’ensemble des gimmicks qui deviendront inhérents à la filmographie de Leone et qui influenceront nombre de réalisateurs par la suite.

Top 19 lieu de tournage et pour quelques dollars de plus synthétisé par Lamsachdoda

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