Liste de 15 j’ai pris trop de medicament que faire

DEFINITIONS

Un surdosage correspond à la prise (ou l’administration) de substances à une dose supérieure à celle pouvant être tolérée par l’organisme. Cette définition implique donc que le terme se réfère à des substances habituellement administrées à l’homme pour produire des effets souhaités, c’est-à-dire aux médicaments ou encore à l’alcool. Ainsi, la définition ne s’applique pas aux effets résultant de l’administration d’un poison, toujours toxique pour l’homme, et pour lequel il n’existe pas de dose pharmacologique. Le surdosage, qu’il soit accidentel ou volontaire, entraînera donc des effets exacerbés ou des effets toxiques.

Une intoxication correspond à la survenue de troubles des fonctions de l’organisme en réaction à l’absorption d’une substance étrangère, à dose toxique. Les troubles peuvent concerner l’ensemble de l’organisme ou un organe en particulier. Les intoxications sont d’origines variées : alimentaires, produits chimiques, poisons, tabac, alcool, médicaments.

Ces effets nocifs, qu’ils résultent d’un surdosage ou d’une intoxication, peuvent survenir après une prise unique ou répétée (ou réitérée) d’un médicament. Une prise massive unique et volontaire est communément appelée tentative d’autolyse. Dans les situations d’administration réitérée, c’est l’accumulation du médicament qui entraîne les effets nocifs.

La surdose ou l’overdose en anglais, est un terme utilisé spécifiquement dans les cas d’intoxications aigües ou mortelles causées par l’ingestion ou l’injection d’un produit stupéfiant ou d’un médicament psychotrope. On parle par exemple d’overdose à la cocaïne ou à l’héroïne.

SITUATIONS POUVANT ENTRAINER UN SURDOSAGE OU UNE INTOXICATION

Plusieurs situations peuvent engendrer un surdosage ou une intoxication. Si l’on omet les actes volontaires, les surdosages et les intoxications peuvent être la conséquence soit d’une erreur humaine ou liée au matériel, soit d’une situation aboutissant à une augmentation de la concentration du médicament dans l’organisme ; dans ce cas, on parlera de surexposition.

1- Les erreurs d’origine humaine ou liées au matériel

Elles peuvent survenir à chaque étape allant de la prescription à l’administration du médicament. Ainsi, toute rédaction d’ordonnance peut faire l’objet d’une erreur (de médicament, de posologie, de durée de traitement,…), auxquelles peuvent s’ajouter des erreurs de préparation (dilution d’une solution injectable,…), des erreurs de délivrance (erreur de lecture de l’ordonnance,…), des erreurs d’administration (mauvais respect des consignes de posologie ou d’horaires,…).

Ainsi, aux erreurs de prescription proprement dites viennent donc s’ajouter des mentions incomplètes indispensables à la dispensation, à l’utilisation ou à la préparation des médicaments.

Cela concerne :

– La nature du médicament prescrit : erreur sur le nom de la spécialité ou confusion entre deux spécialités qui se ressemblent (le LAMISIL® / terbinafine médicament utilisé en dermatologie pour les onychomycoses et le LAMICTAL® / lamotrigine antiépileptique)

– La difficulté ou impossibilité pour le pharmacien ou l’infirmièr(e) de relire la prescription

– Une erreur sur les renseignements concernant le patient : l’âge et le poids du patient, particulièrement s’il s’agit d’un enfant ; le calcul de la dose ou de la posologie ; le rythme d’administration

– Une erreur de décimale ou d’unité dans le calcul de la dose (µg et mg)

– L’expression des posologies par surface corporelle (en cancérologie) ou par poids (antibiotiques, antifongiques surtout en pédiatrie)

– Un dysfonctionnement du dispositif de distribution ou de dispensation

– Un mauvais rangement de l’armoire à pharmacie

– Une confusion entre deux ampoules qui se ressemblent

– Un mauvais fonctionnement dans le système d’administration du produit : mauvais débit de perfusion ou de la seringue électrique

Il est possible d’éviter ou de diminuer de telles erreurs en respectant :

– Les règles générales de bonne prescription (écrire lisiblement sans rature, la voie d’administration, la posologie …)

– Une bonne communication entre les différentes personnes au contact du ou des médicaments

– Une informatisation de la prescription, avec une aide au calcul de dose et signalisation d’interactions médicamenteuses…

Les erreurs sont d’autant plus graves que la marge thérapeutique du médicament est faible et qu’elles surviennent chez des sujets plus sensibles comme les enfants ou les sujets âgés.

2- Les situations aboutissant à une augmentation de la concentration du médicament dans l’organisme

Elles correspondent aux modifications des paramètres pharmacocinétiques chez le patient (voir le chapitre : Source de variabilité de la réponse au médicament / variabilité pharmacocinétique).

L’administration d’un médicament est habituellement suivie des phases d’absorption, de distribution, de métabolisme puis d’élimination. Certaines situations physiologiques, pathologiques ou environnementales (voir le chapitre : Interactions médicamenteuses) peuvent entraîner des modifications de ces étapes, alors même que la dose est « normale », pouvant aboutir à des augmentations de la concentration sanguine et engendrer des effets exacerbés voire toxiques.

Dans certains cas, la modification des paramètres pharmacocinétiques ne dépend pas du sujet lui-même, mais de la non-linéarité des processus pharmacocinétiques, c’est-à-dire d’un comportement pharmacocinétique différent de la normale du fait de l’administration d’une dose très élevée. Dans ce cas, les processus pharmacocinétiques habituels pour le médicament sont modifiés. L’origine de ces modifications repose souvent sur la saturation de l’un des processus contrôlant le devenir du médicament dans l’organisme. L’étude descriptive et quantitative du devenir des toxiques ou des médicaments administrés à doses supra-thérapeutiques est appelée la toxicocinétique.

Les populations les plus exposées aux surdosages et aux intoxications sont les enfants et les personnes âgées. En effet, ces deux groupes cumulent les facteurs de risque cités ci-dessus :

-Risque élevé d’erreurs d’administration : Absence de formes galéniques adaptées à l’enfant imposant une préparation extemporanée des médicaments (formes orales ou injectables) ; mauvaise vue ou troubles cognitifs chez les sujets âgés, multiplicité des médicaments favorisant les prises répétées (ou les oublis).

– Modifications pharmacocinétiques : Immaturité métabolique et rénale du nouveau-né, altération des fonctions d’élimination chez le sujet âgé, multiplicité des médicaments favorisant le risque d’interactions médicamenteuses.

PRISE EN CHARGE DES SURDOSAGES ET DES INTOXICATIONS

La prise en charge des surdosages ou des intoxications repose sur deux grands types de mesures :

-L’arrêt, temporaire ou définitif, du médicament incriminé associé au suivi des paramètres cliniques et/ou biologiques correspondants (INR, concentration sanguine du médicament,…)

-La lutte contre les effets toxiques, soit en favorisant l’élimination ou en réduisant l’absorption de la substance, soit en s’opposant à ses effets sur l’organisme. On parle alors de traitement spécifique, qui repose sur l’utilisation d’antidotes.

Dans tous les cas, il conviendra d’apprécier les conséquences cliniques du surdosage : si le surdosage est peu grave, le simple arrêt du médicament jusqu’à élimination complète est souvent suffisante. Dans quelques cas, il est justifié de favoriser l’élimination systémique par dialyse ou utilisation de médicaments favorisant l’élimination urinaire de la substance incriminée. Si le surdosage ou l’intoxication est grave, outre l’arrêt immédiat du médicament, il est parfois indispensable d’utiliser des antidotes, s’il en existe.

Un antidote est un véritable médicament dont l’action spécifique a pu être établie chez l’animal et chez l’homme. Les antidotes sont capables soit de modifier la cinétique du toxique, soit d’en diminuer les effets au niveau des récepteurs ou des cibles spécifiques. Leur utilisation améliore le pronostic vital ou fonctionnel de l’intoxication. Ils sont classés en trois catégories selon leur mécanisme d’action.

Tableau : Principaux antidotes (liste non exhaustive)

Médicaments ou toxiques antidotes Mode d’action de l’antidote AINS, antidépresseurs, méprobamate, iode, cocaïne, paracétamol, sulfamides, acide valproïque, amphétamines… Charbon activé

Action toxicocinétique

Diminution de la biodisponibilité du médicament ou toxique dans l’organisme

Paracétamol N-acétylcystéine

Action toxicocinétique

Précurseur du glutathion

Neutralisation du métabolisme hépatique toxique du paracétamol

Anticholinergique (belladone, scopolamine) Sulfate de physostigmine

Action pharmacodynamique

Inhibiteur réversibles des cholnestérases

Bétabloquants Atropine, isoprotérénol, glucagon

Action pharmacodynamique

Le glucagon active l’adénylcyclase myocardique, stimule la synthèse d’AMP cyclique et augmente la contractilité et le rythme cardiaque.

Inhibiteurs des cholinestérases Pralidoxime

Action pharmacodynamique

Réactivateur enzymatique des cholinestérases

Benzodiazépines Flumazénil

Action pharmacodynamique

Antagoniste spécifique compétitif des récepteurs aux benzodiazépines

Neuroleptiques Dantrolène

Action pharmacodynamique

Inhibition du relargage massif du calcium dans le réticulum sarcoplasmique provoqué par les neuroleptiques.

Cyanures Hydroxocobalamine , Thiosulfate de sodium

Action toxicocinétique

Neutralisation du toxique par formation de complexe (cyanocobalamine) éliminé par les urines.

Digoxine, digitaline Anticorps antigitalique

Action toxicocinétique et pharmacodynamique

Fragments Fab d’anticorps antidigitaliques qui neutralisent le toxique

Digoxine, digitaline EDTA sodique

Action pharmacodynamique

Chélateur du calcium s’opposant aux effets contractiles des digitaliques sur le myocarde

Éthylène glycol fomepizole

Action toxicocinétique

Neutralisation du métabolisme hépatique toxique. Inhibiteurs compétitif de l’alcool déshydrogénase.

Fer Mesylate de deferoxamine, Defepirone

Action toxicocinétique

Neutralisation par formation de complexe inactif dans le compartiment sanguin, favorise l’élimination du toxique.

Isoniazide Pyridoxine (vitamine B6)

Action pharmacodynamique

Diminution des risques de neuropathies induites par l’isoniazide.

Métal lourd (Pb, Hg, Ni, As ou Cd) Chélateurs (EDTA, BAL),pénicillamine et acide 2.3dimercaptosuccinique (DMSA, succimer)

Action toxicocinétique

Neutralisation par formation de complexe inactif dans le compartiment sanguin

Méthanol Éthanol ou fomepizole

Action toxicocinétique

Neutralisation du métabolisme hépatique toxique. Inhibiteurs compétitifs de l’alcool déshydrogénase.

Méthémoglobinémie

(nitrites, chlorates, metoclopramide, lidocaine…)

Bleu de méthylène

Traitement spécifique

Oxydoréducteur permettant la réduction en méthémoglobine en hémoglobine. Il active un les mécanismes intra-érythocytaires de réduction de la méthémoglobine. Il s’agit de la voie accessoire NADPH dépendante. Cette voie n’existe pas chez les patients déficients en G-6PD.

Opiacés Naloxone

Action pharmacodynamique

Antagoniste spécifique des récepteurs aux opiacés, sans effet agoniste (sans effet dépresseurs des opiacés)

Opiacés Nalorphine

Action pharmacodynamique

Agoniste – antagoniste spécifiques et compétitives des récepteurs aux opiacés, (avec effet dépresseurs des opiacés)

Monoxyde de carbone Oxygène

Traitement spécifique

Déplacement du monoxyde de carbone de l’hémoglobine

Thallium, Cesium Bleu de Prusse (ferrocyanure ferrique

Action toxicocinétique

Neutralisation par formation de complexe inactif dans le compartiment sanguin.

Warfarine Vitamine K, plasma frais congelé , PPSB

Traitement spécifique

Action en aval du site d’action et corrige les conséquences métaboliques

Les antidotes d’action toxicocinétique

Parmi les antidotes d’action toxicocinétique on retrouve les médicaments limitant la biodisponibilité du médicament (charbon activé), les antidotes favorisant l’élimination du médicament sous formes inchangé ou neutralisé (chélateurs, immunothérapie), les antidotes favorisant la métabolisation ou la détoxification (N-acétylcystéine dans le surdosage en paracétamol).

Les antidotes d’action pharmacodynamique

Ces substances ont la possibilité de déplacer le médicament toxique de son récepteur. Ce sont des antagonistes spécifiques comme le flumazénil (antagoniste des benzodiazépines) ou la naltrexone (antagoniste des morphiniques). D’autres médicament contrecarrent l’effet du toxique (ex. glucagon vis-à-vis des manifestations cardiovasculaires du surdosage aux bétabloquants) ou réactivent les récepteurs enzymatiques (ex. pralidoxime et intoxications aux insecticides organophosphorés anticholinestérasiques).

Les antidotes visant à rétablir les équilibres biologiques ou à traiter les symptômes cliniques du surdosage. C’est ainsi que l’on administre du glucose en cas de surdosage aux hypoglycémiants ou du complexe prothrombinique humain (PPSB) en cas de surdosage en AVK.

L’utilisation d’antidotes n’est pas systématique lors d’un surdosage. Au contraire, une utilisation sans précaution d’antidote peut contribuer à l’aggravation de l’état général du patient (ex : l’utilisation de naltrexone chez un sujet toxicomane peut faire apparaître des signes de sevrage aigu, de même qu’une utilisation de flumazénil lors d’une intoxication polymédicamenteuse peut faire apparaitre des convulsions). Les antidotes sont utiles en urgence dans les premières heures d’une intoxication potentiellement grave par un toxique lésionnel alors que les signes cliniques sont absents (paracétamol) ou peuvent être utilisés comme aide au diagnostic de troubles neuropsychiques ou pour lever une dépression respiratoire aigue (flumazénil ou naltrexone).

ROLE DU LABORATOIRE BIOLOGIQUE

Le rôle du laboratoire lors d’un surdosage ou d’une intoxication se situe entre le suivi thérapeutique pharmacologique (adaptation de posologie) et le suivi toxicocinétique (suivi de l’élimination du médicament ou du toxique).

Lorsque c’est possible, la mesure des concentrations sanguines du médicament (voir chapitre : dosages de médicaments) permettent d’adapter la posologie du médicament en fonction des paramètres pharmacocinétiques du patient (par exemple la clairance à la créatinine), de calculer de dose d’antidote à administrer (surdosage en digoxine) ainsi que de suivre l’évolution de l’élimination du toxique dans le temps.

Top 15 j'ai pris trop de medicament que faire synthétisé par Lamsach

Somnifères, anxiolytiques : attention aux effets secondaires des benzodiazépines

  • Auteur: pour-les-personnes-agees.gouv.fr
  • Date de publication: 10/31/2022
  • Commentaire: 4.76 (371 vote)
  • Résumé: Pourtant, ces médicaments engendrent rapidement une dépendance et … éviter les siestes de plus de 30 minutes ou trop tardives (après 16 …

Surdosage des médicaments – Tout savoir

  • Auteur: topsante.com
  • Date de publication: 06/30/2022
  • Commentaire: 4.41 (404 vote)
  • Résumé: Il faut prévenir immédiatement les secours. En attendant leur arrivée, stimuler le malade pour le garder éveillé. Un massage cardiaque associé à un bouche-à- …

Pourquoi une surdose de paracétamol peut être mortelle

  • Auteur: sante.lefigaro.fr
  • Date de publication: 02/12/2022
  • Commentaire: 4.33 (421 vote)
  • Résumé: Cet organe est chargé de détoxifier ce médicament. Or en cas d’excès de paracétamol, les capacités épuratrices du foie sont épuisées et une …
  • Résultats de recherche correspondants: En décembre dernier, la France s’indignait du décès de Naomi Musenga, une Strasbourgeoise de 22 dont l’appel de détresse avait été négligé par une régulatrice du Samu. Mercredi, la lumière a enfin été faite sur les circonstances de la mort de la …

Que risque-t-on en cas d’overdose de médicaments anti-douleur ?

  • Auteur: allodocteurs.fr
  • Date de publication: 10/15/2022
  • Commentaire: 4.14 (454 vote)
  • Résumé: Selon les médicaments, dépasser la dose n’aura aucune incidence. Les médicaments sont beaucoup moins dangereux qu’on ne le pense.

Nausées et vomissements : que faire et quand consulter ?

  • Auteur: ameli.fr
  • Date de publication: 08/07/2022
  • Commentaire: 3.99 (564 vote)
  • Résumé: Je vomis lorsque j’ai le mal des transports ou lorsque j’ai trop mangé … les mesures hygiéno-diététiques et les médicaments que j’ai pris, …

Que faire en cas de surdosage ?

  • Auteur: nurofen.fr
  • Date de publication: 05/24/2022
  • Commentaire: 3.79 (368 vote)
  • Résumé: Quels sont les symptômes de l’intoxication à un médicament de la gamme Nurofen ? Si vous avez pris plus de NUROFEN que vous n’auriez dû, ou si des enfants …

Erreurs thérapeutiques: expérience du Centre Antipoisons

  • Auteur: centreantipoisons.be
  • Date de publication: 04/19/2022
  • Commentaire: 3.48 (256 vote)
  • Résumé: La prise d’un médicament dont la date de péremption est dépassée représente 2 à 3 % des erreurs chez l’adulte et chez l’enfant. Ce type d’erreur inquiète …
  • Résultats de recherche correspondants: Chez l’adulte les erreurs surviennent le plus souvent avec des médicaments du système nerveux central. Les 3 principaux groupes impliqués sont les hypnotiques-sédatifs-anxiolytiques (benzodiazépines surtout), les antidépresseurs (SSRI) et les …

Vous avez pris trop de médicaments sans le faire exprès ? Pas de panique, suivez le guide !

  • Auteur: rtbf.be
  • Date de publication: 02/04/2022
  • Commentaire: 3.19 (481 vote)
  • Résumé: Quand il y a une trop grosse quantité de médicaments, on va utiliser du charbon actif qu’on dilue avec de l’eau mais uniquement si le …

Que faire en cas dingestion de produits toxiques ou de médicaments ?

  • Auteur: medisafe.fr
  • Date de publication: 10/16/2022
  • Commentaire: 3.18 (556 vote)
  • Résumé: L’ingestion d’un produit toxique et trop de médicaments peut créer une intoxication et avoir des conséquences. Les symptômes ne sont pas …

Troubles digestifs et médicaments – Epilepsie France

  • Auteur: epilepsie-france.com
  • Date de publication: 05/20/2022
  • Commentaire: 2.82 (129 vote)
  • Résumé: Une prise de sang pour mesurer le taux sanguin du médicament apportera la réponse. La Dépakine® peut également entraîner des vomissements en cas de dosage trop …
  • Résultats de recherche correspondants: Il n’est pas rare d’être confronté à des questions de parents d’enfants recevant un traitement antiépileptique, qui présentent des troubles digestifs (vomissements, diarrhées, douleurs abdominales, etc.). Cette brève mise au point tentera d’aborder …

Surdose de venlafaxine traitée par assistance cardiorespiratoire extracorporelle

  • Auteur: ncbi.nlm.nih.gov
  • Date de publication: 05/31/2022
  • Commentaire: 2.83 (152 vote)
  • Résumé: En vérifiant les flacons de médicaments et les ordonnances connues de la patiente, … s’apparentant à des convulsions qui ont pris fin sans traitement.
  • Résultats de recherche correspondants: L’électrocardiogramme (ECG) initial est présenté à la figure 1. Peu après son arrivée, la patiente a eu des convulsions qui ont été traitées par l’administration intraveineuse de lorazépam 1 mg. Nous avons communiqué avec le centre antipoison …

Savez-vous bien utiliser le paracétamol contre la douleur et la fièvre ?

  • Auteur: ansm.sante.fr
  • Date de publication: 12/23/2022
  • Commentaire: 2.77 (60 vote)
  • Résumé: Le terme surdosage s’entend par l’utilisation d’un dosage non adapté, une dose trop importante par prise ou par jour, et un délai minimum entre …

Intoxication médicamenteuse chez l’enfant : comment léviter ? Comment réagir ?

  • Auteur: magicmaman.com
  • Date de publication: 07/21/2022
  • Commentaire: 2.66 (188 vote)
  • Résumé: Si un médicament est pris régulièrement par un adulte (pour le cœur chez les … Que faire ou ne pas faire en cas d’intoxication médicamenteuse ?

Que faire en cas dapparition deffets secondaires ?

  • Auteur: mhemo.fr
  • Date de publication: 02/20/2022
  • Commentaire: 2.58 (68 vote)
  • Résumé: Tout effet indésirable suspecté d’être dû à un médicament, prescrit ou pris en automédication, quelle que soit sa gravité ou sa nature, doit être signalé à …
  • Résultats de recherche correspondants: A noter : Certains effets indésirables peuvent être confirmés qu’après examen biologique, notamment l’apparition d’inhibiteurs ou d’autres anomalies biologiques. Dans de telles circonstances, c’est le médecin qui déclare cet effet indésirable. …

Que faire en cas d’empoisonnement suite à la prise d’un médicament ou d’un surdosage?

  • Auteur: passionsante.be
  • Date de publication: 04/23/2022
  • Commentaire: 2.29 (120 vote)
  • Résumé: Si le malade ne respire plus, faites un massage cardiaque. Ne paniquez pas ! Demandez de l’aide à des voisins et surtout restez en contact avec un médecin, le …